Nous abordons l’année de marche avec enthousiasme , bien déterminés à éliminer les excès des repas festins.
Après les bords de l’Oise, le retour se fait par les coteaux. Le paysage s’ouvre,nous passons par des champs vallonnés,des coins de forêts plus intimistes, la terre dégage des odeurs d’humus.
À noter le retour de Christine qui fait ses premiers pas.
